1 outil de travail = 1 revenu

English version below

1 presse à canne, quelques tabourets et une table.

1 presse à canne, © C. Dutileul

La plupart du temps, tailleurs et chauffeurs de trishaw, (vélo- taxis) louent leur outil de travail. (véhicule ou machine à coudre 600 Ks / jour en 2014). Une fois déduite cette location, il ne reste pas de quoi nourrir une famille.

L’idée est de financer de l’outil « remboursé », à taux zéro, à un rythme choisi. Le remboursement peut se faire en service renduà l’association ou, par exemple, en sac de riz porté selon un planning défini, à un orphelinat.

En dix ans, nous avons financé 17 outils de travail, essentiellement vélo-taxi (trishaw) ou machine à coudre. L’aide fournie par l’association ne fait pas d’eux des gens riches, mais les sort de la précarité.
80 % des outils de travail ont été payés et tous les bénéficiaires disent que le fait d’être devenus propriétaires de leur outil de travail a facilité la vie de la famille.

Pour en savoir plus :

• La parole aux précaires
• Les priorités du gouvernement
• Les privilégiés
• Le système éducatif en Birmanie
• Le travail forcé
• Fiche biographique de Than Shwe
Revenus et salaires insuffisants

Most of the time, tailors and trishaw drivers  (bike- taxis) rent their work tool; the  remaining income is insufficient to feed a family.

The idea si to pay for the tool; the reimbursement could be made in work for the association or, for exemple, in a bag of rice carried according to a defined schedule, to an orphanage.

We financed 17 work tools.The help provided by the association does not make them rich people, but they are often taken out of precariousness. 80% of work tools have been paid back and all beneficiaries say that having become owners of their work tools has made life easier for the family.